PROJET 52 PHOTOS 2016 #Quotidien

Ma semaine a été à 100 à l’heure.. Et j’en peux plus.

Plus qu’1 heure 50 et c’est le week-end, j’en ai bien besoin.

Et ce week-end, il va y avoir une surpraïse… J’en parlerai bientôt 🙂

Comme quotidien, j’aurais pu vous montrer mon bureau débordant de dossiers, ou encore moi en train de nettoyer la caisse de mes chats… Pas terrible terrible…

Mais on reste dans l’ambiance un peu crado quand même du métro… 😀

#quotidien

La bétaillère du matin

La bétaillère du matin

 

Depuis qu’il fait un temps de chien, mon vélo dort bien tranquillement à la cave et moi, j’ai repris à contrecœur la bétaillère.

Comment veux tu être aimable et souriante quand tu voyages dans des conditions pareilles??

On comprend mieux la réputation des Parisiens !! Froids et mal aimables…? Moui, on pourrait dire ça…

Déjà, être comprimée dès le matin, ce n’est pas ce que je préfère.

Je suis encore en stand by, genre fonctions primaires, avant d’arriver au boulot. Limite, je communique que par grognements.

Ensuite, viens les gens qui te serrent plus qu’il ne le faudrait, hommes ou femmes d’ailleurs… Je me demande bien pourquoi ? Peut être qu’en t’écrasant, ces personnes auront plus de place pour elle ?? Chai pas.

J’ai aussi eu la désagréable sensation (généralement au printemps ou en été, quand on a pas de gros manteaux) de sentir une barre sur une fesse… Et crois moi, c’est pas la barre à laquelle tu t’accroches en cas de freinage brusque si tu vois ce que je dire…

C’est très, très, gênant !!! Dans ces cas là, ne pas bouger (si tu tortilles, ça va pas le faire) et sauter sur l’occasion de se décaler loin de l’inopportun ! Ou alors, se retourner et lui coller une baffe

J’ai aussi le droit aux gens qui s’inondent de parfum à m’en filer la migraine. Une horreur.

Ceux aussi qui se brossent les dent au pâté et qui te soufflent dans le cou… Baaahhh, j’ai juste envie de leur dire d’aller empester ailleurs !!!

Mais bien sur, je ne dis rien.

Je reste dans ma bulle, j’évite le regard des autres, à défaut de leurs odeurs, et prie pour qu’il n’y ait pas de clodo qui rentre dans la rame (pour le coup, le wagon va se vider en un instant).

Ça doit être comme ça pour tout le monde d’ailleurs… On attend que le supplice prenne fin.

Pour ma part, j’attends le printemps avec impatience pour pouvoir enfourcher mon vélo et retrouver ma liberté 🙂